État d’esprit :
En pause, bien méritée. Et en manque de rencontres occidentales car les régions sont trop reculées pour rencontrer un moine tibétain parlant l’anglais.

En bref :
Le désert du Taklamakan a fait place aux plateaux tibétains pas si plats que ça. On sort d’un gros mois de vélo et d’une semaine a plus de 4000 m d’altitude pour arriver dans une ville complètement rasée par un tremblement de terre l’année passée. Le lieu de villégiature n’est pas celui attendu dans cette ville de tente, mais on relativise facilement 😉