État d’esprit :
Soulagés d’avoir réussi à atteindre le centre de la plus grande ville d’Afrique sains et saufs (une fin d’aprèm à bouffer des gaz d’échappements)

En bref :
Quelques frayeurs dans les champs du delta du Nil : une bande de jeunes agressifs qui interrompt notre nuit, suivi par des militaires paranos desquels on discerne tout juste les mots ‘Israel, espion, hélicoptère, gps…’Résultat: délocalisation du bivouac à la caserne. Reprise le lendemain de la route du Caire en longeant l’un des bras du Nil.